Paloma et Come on People présentent

Vous êtes nostalgiques du punk bourru des 70’s, de l’époque glorieuse du CBGB et des clubs sombres qui sentent la sueur ? Death Valley Girls est fait pour vous. Et les filles de Los Angeles annoncent d’emblée la couleur quand on leur demande de décrire leur musique : “Dystopian Punk” ou encore “Doom Boggie” rien que ça ! Entendez punk dystopique et boogie sinistre dans la langue de Trust. En bref, c’est un peu comme si Elvis se retrouvait au solo de guitare enflammée à l’avant d’un pick up de l’enfer dans le dernier Mad Max. Mais à cette brutalité inhérente au genre, le girl band californien sait aussi  y mêler une certaine sensualité, en allant chercher du côté du rock psyché voire même glam rock. S’en dégage un punk plus riche, un sens du rythme indéniable, accompagnés par les solos épiques du guitariste Larry Schemel et la voix puissante de Bonnie Bloomgarden.

Bad Pelicans incarne à sa façon la philosophie d’une génération d’artistes Français qui n’a pas peur de décliner son univers sur différents supports. Qu’ils soient comparés sur scène aux jumeaux maléfiques The Garden ou shooté par le photographe et styliste Hedi Slimane, Bad Pelicans joue avec les codes punk et glam pour délivrer sur scène comme sur disque une musique toujours plus sincère, à coups de « reverb cathédrale » sur la grosse caisse.
Après un premier EP sur le label anglais Stolen Body Records au printemps dernier ; le trio parisien est de retour avec un nouveau 5 titres post-grunge furieux à paraître en 2019.