En partenariat avec Musight Club
- Ouverture des portes à 20H00
- 20H30 - Club
- Post-Punk / Rock
Ça vous arrive de passer la nuit les yeux aux plafond, paralysé·e d’effroi, ruminant à propos de toutes les opportunités que vous avez manquées ? Tout le monde essaie de trouver un peu de chaleur humaine, mais pourquoi est-ce aussi difficile ? Crying Losers est peut-être la clé pour débloquer votre plein potentiel et découvrir votre vérité intérieure, aussi déprimant que cela puisse être.
Crying Loser est un quatuor no-wave de Cork, en Irlande, avec Arthur Pawsey (guitare, chant), Micheál Fitzgerald (basse), Sam Clague (clarinette basse, flûte) et Ruairí de Búrca (batterie). Issu d’improvisations bruyantes dans un sous-sol, Crying Loser a sorti son premier EP, Oaf Milk en 2023, suivi d’une sortie vinyle par Swish Swash Records en 2024. Avec un album complet en préparation et des concoctions plus chaotiques à sa suite, Crying Loser cherche à gratter la misérable démangeaison de la vie au fond du tonneau.
En deux albums, le quartet parisien Hoorsees s’est construit une solide réputation de faiseur de mélodies pop imparables auprès du public français ainsi qu’américain, par l’intermédiaire du label new- yorkais Kanine Records (Grizzly Bear, Chairlift, The Pain of Being Pure at Heart …). Sur «Big», troisième album d’Hoorsees parru en 2024, le groupe explore pour la première fois des sonorités plus électroniques, résultat d’une influence inédite jusqu’ici chez eux : la «French Touch» des années 2000
Il aura fallu, c’est un comble, que le groupe traverse l’Atlantique lors d’une tournée pour qu’il se décide à se pencher enfin sur «Bankrupt» de Phoenix ou «Discovery» de Daft Punk, à force d’entendre le public américain les rappeler à leur héritage. Un déclic tardif qui va marquer les choix de production qui façonnent ce nouvel album. L’influence outre-atlantique demeure néanmoins, bien qu’Hoorsees s’éloigne ici quelque peu des années 90 de Weezer ou Pavement qui planaient sur les deux premiers albums au profit de la décennie suivante et du fondamental «Is this it» des Strokes, dont la composition contrapuntique et les textures de guitare ont influencé l’écriture des différents titres qui forment «Big».
Infos navettes
Aller :
– En trambus avec les lignes T2 et T4, notamment depuis les arrêts « Musée Romanité » et « Gare Feuchères » – arrêt « Paloma »
– Lignes 12, 21 et 22 depuis les villages du Nord Est de Nîmes – arrêt « Paloma »
Retour :
Un trajet retour unique est assuré par la ligne T2 depuis l’arrêt « Paloma » jusqu’à la Gare SNCF et le centre-ville.
Le départ s’effectue environ 20 min après la fin du dernier concert (Club et Grande Salle).