LUCKY LOVE + Rosebud

Lucky Love c’est une fureur de vivre, un parcours d’une intensité folle bercé de rencontres inespérées, extraordinaires et magiques. A côtoyer laissés-pour-compte et passeurs d’art (de la danseuse étoile Marie-Agnès Gillot au créateur de mode John Galliano) il a vite compris qu’aucune école au monde ne lui aurait permis de se dérober à sa personnalité hors-norme. Un seul choix s’offre désormais à lui : composer sa propre partition à travers la musique. Une chanson « Masculinity » filmée lors d’un concert, et ce sont les réseaux sociaux qui s’affolent aux quatre coins du monde. “What about my masculinity? What is wrong with my body ?”: de l’Iran aux USA en passant par l’Ukraine, ils seront des millions à se reconnaitre dans ses paroles  et à travers le personnage de Lucky Love aussi intrigant que charismatique. Son premier album “I DON’T CARE IF IT BURNS » est sorti le 15 novembre !

“Old age, it’s the only disease” (Orson Welles, Citizen Kane, 1941). Si l’unique maladie est celle de la vieillesse, alors Rosebud en a peut-être trouvé le meilleur des remèdes : la musique dans son état le plus brut. Milan et Marius, ces deux amis de longue date avant toute chose, vivent comme ils écrivent, jouent, produisent, chantent, enregistrent ou même filment, sans se poser cette vague de questions qui embrument la vision et écartent du but. C’est cette quête intarissable d’innocence et de naïveté qui anime la créativité du duo et s’exprime au cœur de mélodies alt-pop mi-mélancoliques, mi-florissantes. Du synthé au piano, du chant à la batterie, de la quiétude à l’impétuosité, du studio à la scène, les compos de Rosebud clament l’espoir propre à cette jeunesse insouciante, réussissant la prouesse de métamorphoser la nostalgie en joie.