Vendredi 20 septembre 2013 - 19H

Marsatac 2013

Nuit #2
  • 19H - Grande Salle / Club
  • Dubstep / Electro / House / Jazz / Noise / Pop / Rock / Techno

Une batterie, deux pianos, des machines. Formation insolite, démarche inédite. Trait d’union entre les musiques classique et électronique, Aufgang signe l’un des projets musicaux les plus ébouriffants du moment. Avec son second album,Istiklaliya (indépendance en arabe), le trio poursuit sa quête avec une audace impertinente et marie des mélodies classiques finement ouvragées à une techno bagarreuse. Préparez-vous à une rencontre du troisième type ; venez assister à la naissance de l’enfant (défendu) de Bach et Kraftwerk !

Grande Salle

Nourris au bon grain de la synth pop, des ténèbres maîtrisées de la new-wave, les Juveniles déboulent en 2011 en fiers héritiers de Morrissey et autre New Order. Deux ans plus tard, les Bretons n’ont pas changé de cap. Ils sortent un premier album pour lequel, malins, ils sont allés débusquer Yuksek dans sa tanière rémoise. Une série de bombes pop dont on ne sort pas indemne. Trépidances rétro-futuristes, sensualité à fleur de peau, insolence insondable, mélancolie domestiquée en bandoulière… Leurs concerts font monter le feu aux joues !

Grande Salle

Zeller engendre, avec la précision maniaque d’un savant fou, des tourbillons dont on ne sort pas indemne. Après un renversant premier album Audio vandalism, en 2008, sur l’indispensable label allemand Hymen, le DJ français s’est offert une escapade abrasive chez les Américains de Tympanik Audio. Son album Turbulences le révèle tel qu’il est : maître d’un monde industriel et pulsatile, rageur et vertigineux. De son dubstep trituré, de ses breakbeats pleins d’aspérités, de ses synthlines menaçantes naissent alors l’incontestable beauté du chaos.

Club

Son vrai nom ? Lodewijk Fluttert. Mais retenez plutôt Bakermat. D’abord parce que c’est plus facile à prononcer, ensuite parce que l’insolent Néerlandais fait partie de ces nouveaux venus que le Marsatac va vous rendre indispensables. Avec sa belle gueule d’étudiant en psycho (qu’il est !) Bakermat façonne une deep-house/tech-house pleine d’identité. Grand amateur de jazz, ce Hollandais est un as de la haute-voltige. Enchaînant les loopings à coups de cuivres rutilants, pianos martelés et flûtes volubiles.

Grande Salle

Ok, ils ne sont pas bien vieux. Même pas 35 balais à eux deux. Et alors ? L’anecdotique question du nombre des années ne pèse pas lourd face à l’évidence : l’électro rock du duo Carbon Airways – ténèbres charbon, luminosité aveuglante – fascine. Avec la certitude de ceux qui sont dans le vrai, le frère et la sœur Fernese ouvragent, sans complexe, des titres baston, nourris de Prodigy et du big-beat de Fat Boy Slim. Pour preuve, ce Black Sun, single incendiaire à l’intensité qui force le respect, annonciateur d’un EP dévastateur. A Marsatac, le soleil sera jeune et irradiera aussi la nuit !

Club

Quand Joris Voorn se met aux machines, difficile de ne pas se laisser emporter par sa house envoûtante et atmosphérique. Le DJ et producteur hollandais manipule les platines comme d’autres le lasso pour mieux vous capturer et vous faire danser. Depuis Incident, son premier tube planétaire en 2004, Voorn n’est pas redescendu de la planète Dancefloor, faisant monter et redescendre la pression avec un savoir-faire indiscutable. Avec Voorn, Marsatac s’offre un maître mondial de la transe électro.

Grande Salle

Quand Benjamin John Power et Andrew Hungs se retrouvent, c’est assez rarement pour jouer à la bataille. Ou à la guerre des nerfs, alors. L’incroyable duo britannique Fuck Buttons, avec son troisième album, Slow Focus (ATP Recordings), met un malin plaisir à se perdre dans les méandres chaotiques et magnifiques d’une électro post-rock et noise. Une alchimie tordue, puissante, sèche, dans laquelle s’invitent interférences statiques et bruit blanc. Un mur du son où strate après strate, le duo échafaude la B.O. de l’Apocalypse.

Club

Aristocrate et anarchiste. Compliqué ? Pas pour Dave Clarke. Ce pionnier des nuits électroniques britanniques des années 90, surnommé The Baron of Techno par le regretté et mythique Dj de la BBC John Peel, est un puriste. Opiniâtre et novateur. Sans concession à un quelconque système que ce soit. Lorsqu’il glisse quelques onces de breakbeat ou d’électronica dans sa techno, c’est bien avant tout le monde… L’homme regarde loin, toujours droit devant. Et sa musique avec lui. Le Baron n’a qu’un but : vous happer dans sa subversion sonique !

Grande Salle

Il brûle les étapes aussi vite qu’il enflamme les dancefloors. En deux petites années, le Nordiste Madben s’est taillé une place amplement méritée dans le gratin de la techno mondiale. Repéré par Laurent Garnier, le bonhomme emballe son monde avec ses machinations fulgurantes et neuves qui puisent sans vergogne dans la techno de Detroit, la house de Chicago et l’électro européenne. A qui veut l’entendre, il balance un cri de guerre en forme de ligne de conduite :We want to rave on ! Ça tombe bien, nous aussi.

Club

Infos navettes

Aller :
– En trambus avec les lignes T2 et T4, notamment depuis les arrêts « Musée Romanité » et « Gare Feuchères » – arrêt Paloma
Lignes 12, 21 et 22 depuis les villages du Nord Est de Nîmes – arrêt Paloma

Retour :
Un trajet retour unique est assuré par la ligne T2 depuis l’arrêt « Paloma » jusqu’à la Gare SNCF et le centre-ville.
Départ environ 20 min après la fin des concerts. 

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